Comme évoqué dans mon précédent post, je vais parler de concepts évoqués en démarrage de projet.
Je prends pour exemple le concept de "zéro maintenance".
Il faut bien s'imaginer au début du processus, où l'on a la connaissance de l'existant, à savoir des appareils dont la maintenance nécessite à la fois des outils adéquats, et un savoir faire pour réaliser ces opérations.
Passer de cette situation initiale, à une vision idéale de "zéro maintenance", où aucun outil n'est nécessaire et où le temps d'intervention est nul, nécessite d'oublier les schémas conventionnels.
Formuler ces objectifs, en terme d'idéalité, force à briser les contradictions.
Dans TRIZ et OTSM-TRIZ, l'idéalité est un concept très puissant. On le retrouve en tant que loi d'évolution (la loi N°4), ou comme concept à part entière .
On parle de machine idéale, dans le cas où l'action attendue est réalisée sans machine.
On évoque un processus idéal lorsqu'il n'y a ni dépense d'énergie, ni temps passé, et que l'action attendue est réalisée.
De même, on parle de substance idéale, dans le cas où il n'y a pas de substance mais que l'action est réalisée.
En tant que concepteur, l'idéalité est toujours à conserver à l'esprit. Toute conception, tout système, tend à se simplifier dans le temps. Une nouvelle génération de produit porte souvent en mémoire la conception des produits suivants, et chaque évolution de ce produit va dans le sens de l'idéalité.
Le choix d'aller vers l'idéal sur telle ou telle fonction doit relever d'un choix stratégique. Le paramètre à améliorer est à déterminer en fonction des besoins du client. Il convient donc de formuler chaque fonction à améliorer. Ensuite, parmi tous les paramètres à améliorer, on effectue une sélection pour déterminer lesquels d'entre eux devront être travaillés. Chaque génération de produit bénéficie ainsi de plusieurs axes d'améliorations.
Une fois ces priorités fixées, il reste à les traiter avec les différents outils à notre disposition, dont le réseau de problèmes.
Je prends pour exemple le concept de "zéro maintenance".
Il faut bien s'imaginer au début du processus, où l'on a la connaissance de l'existant, à savoir des appareils dont la maintenance nécessite à la fois des outils adéquats, et un savoir faire pour réaliser ces opérations.
Passer de cette situation initiale, à une vision idéale de "zéro maintenance", où aucun outil n'est nécessaire et où le temps d'intervention est nul, nécessite d'oublier les schémas conventionnels.
Formuler ces objectifs, en terme d'idéalité, force à briser les contradictions.
Dans TRIZ et OTSM-TRIZ, l'idéalité est un concept très puissant. On le retrouve en tant que loi d'évolution (la loi N°4), ou comme concept à part entière .
On parle de machine idéale, dans le cas où l'action attendue est réalisée sans machine.
On évoque un processus idéal lorsqu'il n'y a ni dépense d'énergie, ni temps passé, et que l'action attendue est réalisée.
De même, on parle de substance idéale, dans le cas où il n'y a pas de substance mais que l'action est réalisée.
En tant que concepteur, l'idéalité est toujours à conserver à l'esprit. Toute conception, tout système, tend à se simplifier dans le temps. Une nouvelle génération de produit porte souvent en mémoire la conception des produits suivants, et chaque évolution de ce produit va dans le sens de l'idéalité.
Le choix d'aller vers l'idéal sur telle ou telle fonction doit relever d'un choix stratégique. Le paramètre à améliorer est à déterminer en fonction des besoins du client. Il convient donc de formuler chaque fonction à améliorer. Ensuite, parmi tous les paramètres à améliorer, on effectue une sélection pour déterminer lesquels d'entre eux devront être travaillés. Chaque génération de produit bénéficie ainsi de plusieurs axes d'améliorations.
Une fois ces priorités fixées, il reste à les traiter avec les différents outils à notre disposition, dont le réseau de problèmes.
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