L'éco-conception est une thématique très présente à l'heure actuelle. Elle est de plus en plus présente dans les démarches de conception de produits.
On trouve cette définition sur Wikipedia:
Comme la conception à coût objectif, et d'autres approches de conception, l'utilisation de ces outils sans stratégie d'innovation ne pourra apporter que des résultats dignes d'une optimisation.
La force de TRIZ, et d'OTSM-TRIZ, c'est d'intégrer "par défaut" des notions qui sont compatibles avec une démarche d'éco-conception.
On peut prendre pour exemple l'utilisation des ressources, permettant de résoudre un problème en utilisant son environnement. Ainsi, la fonction requise est satisfaite en utilisant "quelque chose" qui ne coûte rien, qui est librement disponible. N'est-ce pas la façon la moins "coûteuse" de concevoir un produit ?
L'idéalité y participe aussi. La machine idéale est la machine qui n'existe pas alors que la fonction est réalisée. La machine idéale a donc un coût environnemental nul.
Alors oui, entre cette vision idéale et la réalité, il y a un gap, mais la solution trouvée en suivant ces lignes directrices va bien vers l'économie de moyens.
Il en va de même pour les lois d'évolution, qui participent chacune à leur façon à cette démarche, ainsi que la possibilité d'utiliser le schéma multi-écrans pour étudier les différentes étapes du cycle de vie du produit.
Ainsi, dans une démarche d'éco-conception, il est clair que TRIZ et ses dérivés ont leur place, ainsi que d'autres outils, pour aller chercher la solution à la fois innovante et économe en ressources (les deux notions sont d'ailleurs très souvent présentes ensemble).
On trouve cette définition sur Wikipedia:
"L'éco-conception est une approche qui prend en compte les impacts environnementaux dans la conception et le développement du produit et intègre les aspects environnementaux tout au long de son cycle de vie (de la matière première, à la fin de vie en passant par la fabrication, la logistique, la distribution et l'usage)."
Comme la conception à coût objectif, et d'autres approches de conception, l'utilisation de ces outils sans stratégie d'innovation ne pourra apporter que des résultats dignes d'une optimisation.
La force de TRIZ, et d'OTSM-TRIZ, c'est d'intégrer "par défaut" des notions qui sont compatibles avec une démarche d'éco-conception.
On peut prendre pour exemple l'utilisation des ressources, permettant de résoudre un problème en utilisant son environnement. Ainsi, la fonction requise est satisfaite en utilisant "quelque chose" qui ne coûte rien, qui est librement disponible. N'est-ce pas la façon la moins "coûteuse" de concevoir un produit ?
L'idéalité y participe aussi. La machine idéale est la machine qui n'existe pas alors que la fonction est réalisée. La machine idéale a donc un coût environnemental nul.
Alors oui, entre cette vision idéale et la réalité, il y a un gap, mais la solution trouvée en suivant ces lignes directrices va bien vers l'économie de moyens.
Il en va de même pour les lois d'évolution, qui participent chacune à leur façon à cette démarche, ainsi que la possibilité d'utiliser le schéma multi-écrans pour étudier les différentes étapes du cycle de vie du produit.
Ainsi, dans une démarche d'éco-conception, il est clair que TRIZ et ses dérivés ont leur place, ainsi que d'autres outils, pour aller chercher la solution à la fois innovante et économe en ressources (les deux notions sont d'ailleurs très souvent présentes ensemble).
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