Le Résultat Final Idéal est certainement un des concepts et outils les plus puissants de TRIZ.
Avec lui, on peut aller bien au delà d'une formulation classique, en se focalisant sur l'objectif idéal.
L'idéalité est bien sûr à l’œuvre, et la démarche consistant à ne chercher que ce que l'on attend réellement du système étudié permet de faire sauter de nombreux verrous.
je peux prendre un exemple réel: la Vulcane Express.
Voila un produit qui peut apparaître comme un ovni par rapport à l'existant. Pourquoi?
Parce qu'il fallait innover sans innover. Eh oui, encore une contradiction!
mais j'en parlerai plus tard.
En revenant au sujet de ce post: le résultat final idéal.
Il y a deux grandes familles d'approche lors de la résolution d'un problème. Ces deux approches, loin de s'opposer, peuvent se compléter si on les utilise correctement.
La première approche consiste à partir de l'existant, et de traiter les problèmes un à un. Si cette méthode est efficace, elle a en contrepartie des effets néfastes: la complexification de la solution, et l'absence d'une "image" unique de l'objectif à atteindre.
La seconde approche consiste, en préalable, de se détacher de l'existant et de formuler ce que l'on veut idéalement obtenir. On construit ainsi un horizon inatteignable, mais qui nous indique le chemin de la résolution.
Le matériau de base est le même, et découle de l'analyse du problème. Il est constitué des besoins du client et de ses problèmes.
La différence, avec la seconde approche, est que nous allons nous consacrer en premier lieu à déterminer les causes des problèmes rencontrés, et en déduire des axes de progrès.
On retrouve, dans ces deux approches, la description faite dans le comment et le pourquoi.
La première approche est plutôt basée sur "Comment résoudre mon problème", alors que la seconde est basée sur le "Pourquoi j'ai un problème".
Les deux approches ne sont pas exclusives, et l'on doit sans arrêt naviguer entre les deux modes de résolution, en choisissant pour chaque sous problème le meilleur angle d'attaque.
Avec lui, on peut aller bien au delà d'une formulation classique, en se focalisant sur l'objectif idéal.
L'idéalité est bien sûr à l’œuvre, et la démarche consistant à ne chercher que ce que l'on attend réellement du système étudié permet de faire sauter de nombreux verrous.
je peux prendre un exemple réel: la Vulcane Express.
Voila un produit qui peut apparaître comme un ovni par rapport à l'existant. Pourquoi?
Parce qu'il fallait innover sans innover. Eh oui, encore une contradiction!
mais j'en parlerai plus tard.
En revenant au sujet de ce post: le résultat final idéal.
Il y a deux grandes familles d'approche lors de la résolution d'un problème. Ces deux approches, loin de s'opposer, peuvent se compléter si on les utilise correctement.
La première approche consiste à partir de l'existant, et de traiter les problèmes un à un. Si cette méthode est efficace, elle a en contrepartie des effets néfastes: la complexification de la solution, et l'absence d'une "image" unique de l'objectif à atteindre.
La seconde approche consiste, en préalable, de se détacher de l'existant et de formuler ce que l'on veut idéalement obtenir. On construit ainsi un horizon inatteignable, mais qui nous indique le chemin de la résolution.
Le matériau de base est le même, et découle de l'analyse du problème. Il est constitué des besoins du client et de ses problèmes.
La différence, avec la seconde approche, est que nous allons nous consacrer en premier lieu à déterminer les causes des problèmes rencontrés, et en déduire des axes de progrès.
On retrouve, dans ces deux approches, la description faite dans le comment et le pourquoi.
La première approche est plutôt basée sur "Comment résoudre mon problème", alors que la seconde est basée sur le "Pourquoi j'ai un problème".
Les deux approches ne sont pas exclusives, et l'on doit sans arrêt naviguer entre les deux modes de résolution, en choisissant pour chaque sous problème le meilleur angle d'attaque.
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