J'ai l'habitude de dire, lorsque l'on travaille sur une résolution de problème: 20% sinon rien.
Alors, on pourrait penser à un management de type exigeant à la "fond de pension". J'en connais de très proches, et ce n'est pas du tout ce que je veux développer ici.
J'essaye plutôt de promouvoir une vision à long terme, incompatible avec ces notions "court terme" mais tellement en accord avec une croissance harmonieuse des "entités". J'arrête là ces digressions pour me recentrer sur mon sujet.
TRIZ nous enseigne, avant tout, de traiter des contradictions. On est en général face à des problèmes que l'on traite avec des compromis... le mot est lâché. Le compromis est la meilleure façon de continuer à vivre dans ce truc tiède, insipide, dans lequel on se sent plutôt bien, ou pas, en fonction du niveau de conscience. Charge à vous de mettre les bonnes images qui vous causent, et je suis certain que vous pourrez en trouver, tout autant que moi...
Alors, pourquoi 20% ?
On peut considérer que 20%, après tout, ce n'est pas un gros challenge?
Eh bien essayez vous à celui-ci, sur n'importe quel critère de votre vie professionnelle ou privée.
J'ai constaté que définir un objectif de gain de 20% sur un paramètre de produit apportait de nouvelles solutions innovantes traitant des contradictions. C'est l'entrée vers une résolution innovante des problèmes.
Mais si vous voulez atteindre les 20%, il va falloir user d'autres ressources.
Les clés sont nombreuses (et vous serez à même de définir quelles sont celles nécessaires). En tout cas, cela passera certainement par une démolition constructive (tiens, un oxymore...)
Il n'existe pas de miracle pour traiter ce genre de problèmes, mais il se trouve (et c'est une expérience purement personnelle) que TRIZ et ses outils, aident grandement dans la découverte de solutions innovantes. Par contre, il existe aussi des freins rédhibitoires à ce type de démarche. La culture commune incite à marcher dans les pas de ses prédécesseurs.Il est tout à fait logique de marcher dans ces traces, car elles sont empreintes de bon sens et d'expérience. N'oublions pas, tout de même, que seuls les poissons morts nagent dans le sens du courant...
Alors, on pourrait penser à un management de type exigeant à la "fond de pension". J'en connais de très proches, et ce n'est pas du tout ce que je veux développer ici.
J'essaye plutôt de promouvoir une vision à long terme, incompatible avec ces notions "court terme" mais tellement en accord avec une croissance harmonieuse des "entités". J'arrête là ces digressions pour me recentrer sur mon sujet.
TRIZ nous enseigne, avant tout, de traiter des contradictions. On est en général face à des problèmes que l'on traite avec des compromis... le mot est lâché. Le compromis est la meilleure façon de continuer à vivre dans ce truc tiède, insipide, dans lequel on se sent plutôt bien, ou pas, en fonction du niveau de conscience. Charge à vous de mettre les bonnes images qui vous causent, et je suis certain que vous pourrez en trouver, tout autant que moi...
Alors, pourquoi 20% ?
On peut considérer que 20%, après tout, ce n'est pas un gros challenge?
Eh bien essayez vous à celui-ci, sur n'importe quel critère de votre vie professionnelle ou privée.
J'ai constaté que définir un objectif de gain de 20% sur un paramètre de produit apportait de nouvelles solutions innovantes traitant des contradictions. C'est l'entrée vers une résolution innovante des problèmes.
- -20 % en poids
- +20% en fonctionnalités
- -20% en coût
- Etc...(la liste est ouverte :-)
Mais si vous voulez atteindre les 20%, il va falloir user d'autres ressources.
Les clés sont nombreuses (et vous serez à même de définir quelles sont celles nécessaires). En tout cas, cela passera certainement par une démolition constructive (tiens, un oxymore...)
Il n'existe pas de miracle pour traiter ce genre de problèmes, mais il se trouve (et c'est une expérience purement personnelle) que TRIZ et ses outils, aident grandement dans la découverte de solutions innovantes. Par contre, il existe aussi des freins rédhibitoires à ce type de démarche. La culture commune incite à marcher dans les pas de ses prédécesseurs.Il est tout à fait logique de marcher dans ces traces, car elles sont empreintes de bon sens et d'expérience. N'oublions pas, tout de même, que seuls les poissons morts nagent dans le sens du courant...
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