Un des problèmes que rencontrent les nouveaux utilisateurs de TRIZ est l'hermétisme de certains des outils. Ceci est particulièrement vrai pour les principes de la matrice. L'aspect "générique " des solutions proposées bloque souvent le nouvel inventeur qui a du mal à interpréter la signification du principe.
Alors, que faire?
Tout d'abord, un petit rappel d'une partie des travaux de Genrich Altshuller (l'inventeur de la théorie TRIZ) s'impose.
Un des grands chantiers engagés par Genrich Altshuller et ses équipes a été de faire l'analyse de nombreux brevets dans le but de déterminer s'il existait, pour les plus inventifs d'entre eux, des similitudes.
Il s'est alors mis à rechercher, pour chacun de ces brevets, quelle contradiction technique était résolue, et en utilisant quel principe.
Ensuite, tout le travail a été de standardiser la formulation des contradictions et les principes. En effet, l'analyse de près de 40.000 brevets aurait pu conduire, sans cette étape de modélisation, à un nombre impressionnant de principes et de paramètres associés à la contradiction technique.
L'effet nuisible est que, du fait de la nature générique des principes, il faut, dans chaque cas, interpréter le principe évoqué pour le faire coller à la réalité du problème réel. Ceci requiert une étape d'abstraction nécessaire.
La matrice comprend 39 paramètres, et 40 principes de résolution. La résolution se fait selon le schéma ci-dessous:
On part du problème à résoudre,
Pour la petite histoire, la matrice avec ses 40 principes et ses 39 paramètres n'est qu'une des versions existantes.
Alors, que faire?
Tout d'abord, un petit rappel d'une partie des travaux de Genrich Altshuller (l'inventeur de la théorie TRIZ) s'impose.
Un des grands chantiers engagés par Genrich Altshuller et ses équipes a été de faire l'analyse de nombreux brevets dans le but de déterminer s'il existait, pour les plus inventifs d'entre eux, des similitudes.
Il s'est alors mis à rechercher, pour chacun de ces brevets, quelle contradiction technique était résolue, et en utilisant quel principe.
Ensuite, tout le travail a été de standardiser la formulation des contradictions et les principes. En effet, l'analyse de près de 40.000 brevets aurait pu conduire, sans cette étape de modélisation, à un nombre impressionnant de principes et de paramètres associés à la contradiction technique.
L'effet nuisible est que, du fait de la nature générique des principes, il faut, dans chaque cas, interpréter le principe évoqué pour le faire coller à la réalité du problème réel. Ceci requiert une étape d'abstraction nécessaire.
La matrice comprend 39 paramètres, et 40 principes de résolution. La résolution se fait selon le schéma ci-dessous:
On part du problème à résoudre,
- On identifie les deux paramètres du problème (étape de modélisation)
- On injecte ces deux paramètres dans la matrice
- Et puis on interprète les principes proposés pour les appliquer au problème réel.
Pour la petite histoire, la matrice avec ses 40 principes et ses 39 paramètres n'est qu'une des versions existantes.
- D'une part, au cours de son élaboration, elle a existé sous d'autres dimensions parfois plus imposantes.
- D'autre part, cette matrice a été (et est encore) déclinée sous d'autres formats, et dans d'autres domaines. On trouve ainsi des matrices dédiées aux jeunes enfants, ou encore à des domaines particuliers (Marketing,...). Voir pour cela cette page du TRIZ Journal.
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