Où l'on parle de dichotomie.
Connaissez-vous le jeu consistant à essayer de deviner un nombre compris entre 1 et 100 en un minimum de coups?
Pour minimiser le nombre d'essais, il faut avoir une stratégie efficace. Celle-ci consiste à diviser l'espace des solutions par 2 à chaque question.
Ainsi, la première question sera "Est-ce que le nombre est plus grand que 50?" La réponse restreindra l'espace de solution par 2.
De question en question, toujours en divisant l'espace des solutions par 2, on obtient ainsi la méthode systématiquement la plus rapide pour arriver au résultat.
Il est clair que cette approche, pour le problème en question, est triviale. Mais, pour, chaque problème que l'on rencontre, si l'on choisit la meilleure question à se poser au cours du processus de résolution, on divise par deux l'espace dans lequel on cherche la solution.
Donc, l'important, dans le processus menant à la solution, est cette prochaine question. Seule la pertinence de celle-ci peut nous approcher de l'objectif de façon significative et sûre.
Cette méthode est à l'opposé de la méthode classique d'essais/erreurs, qui consiste en une approche non structurée de résolution de problème. Elle est bien sûr moins efficace que le Oui/Non.
Le jeu du Oui/Non, ou Yes/No game est un très bon outil pédagogique à employer avec des enfants. On peut ainsi leur faire deviner un objet, un emplacement, ou tout autre chose. Il développe leur capacité d'analyse et de discernement, et leur faculté à construire le processus qui conduira à la solution de la façon la plus efficace. Un exemple d'application est donné dans "la ville des énigmes les plus simples", exercice 2.10, traduction de country of riddles d'Alla Nesterensko.
Il peut aussi permettre de mettre en évidence des contradictions, et de les résoudre: en effet, c'est le cas lorsque apparaitront des réponses antagonistes à une même question. Il suffit de prendre l'exemple du parapluie, si la question est "Est-ce que l'objet est grand?" la réponse pourra être à la fois oui et non.
Intéressant, non?
Connaissez-vous le jeu consistant à essayer de deviner un nombre compris entre 1 et 100 en un minimum de coups?
Pour minimiser le nombre d'essais, il faut avoir une stratégie efficace. Celle-ci consiste à diviser l'espace des solutions par 2 à chaque question.
Ainsi, la première question sera "Est-ce que le nombre est plus grand que 50?" La réponse restreindra l'espace de solution par 2.
De question en question, toujours en divisant l'espace des solutions par 2, on obtient ainsi la méthode systématiquement la plus rapide pour arriver au résultat.
Il est clair que cette approche, pour le problème en question, est triviale. Mais, pour, chaque problème que l'on rencontre, si l'on choisit la meilleure question à se poser au cours du processus de résolution, on divise par deux l'espace dans lequel on cherche la solution.
Donc, l'important, dans le processus menant à la solution, est cette prochaine question. Seule la pertinence de celle-ci peut nous approcher de l'objectif de façon significative et sûre.
Cette méthode est à l'opposé de la méthode classique d'essais/erreurs, qui consiste en une approche non structurée de résolution de problème. Elle est bien sûr moins efficace que le Oui/Non.
Le jeu du Oui/Non, ou Yes/No game est un très bon outil pédagogique à employer avec des enfants. On peut ainsi leur faire deviner un objet, un emplacement, ou tout autre chose. Il développe leur capacité d'analyse et de discernement, et leur faculté à construire le processus qui conduira à la solution de la façon la plus efficace. Un exemple d'application est donné dans "la ville des énigmes les plus simples", exercice 2.10, traduction de country of riddles d'Alla Nesterensko.
Il peut aussi permettre de mettre en évidence des contradictions, et de les résoudre: en effet, c'est le cas lorsque apparaitront des réponses antagonistes à une même question. Il suffit de prendre l'exemple du parapluie, si la question est "Est-ce que l'objet est grand?" la réponse pourra être à la fois oui et non.
Intéressant, non?
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