Dans tout échange, il peut survenir l'apparition de ces deux mots accolés. En terme sémantique, on y reconnaît un début de contradiction.
Lorsqu'une nouvelle idée apparaît, elle est souvent accueillie assez tièdement. Ce phénomène est absolument naturel, et peut être utilisé de façon à renforcer le nouveau concept.
Un nouveau concept émerge, et il remet souvent en cause des éléments préexistants. De plus, il a généralement la bonne idée de ne pas fonctionner...
Il doit alors faire face à différents accueils:
Le rejet est une forme de résistance au changement. Pour innover, il faut être prêt à abandonner ses certitudes, et ce n'est pas chose facile. Comme pour l'indifférence, comprendre les raisons du rejet apporte des informations précieuses relatives au nouveau concept. Ce sont souvent des raisons que l'on n'avait pas envisagées, et pouvant être liées au concept lui-même ou à son environnement.
L'acceptation conditionnelle, forme "polie" du rejet, est certainement la position la plus intéressante. L'interlocuteur accepte le nouveau concept, mais lui trouve en même temps tous les défauts possibles. Autrement dit, il alimente par lui-même le réseau de problèmes liés à cette nouvelle idée.
Enfin, l''adhésion sans réserve, qui semble à priori satisfaisante, présente le risque de nier les problèmes par une attitude positive exagérée.
Alors, oui, la chasse au "oui mais" est une chasse très productive pour la nouvelle idée, permettant de mettre à jour une partie des éléments à prendre en compte lors de la conception du nouveau système.
Lorsqu'une nouvelle idée apparaît, elle est souvent accueillie assez tièdement. Ce phénomène est absolument naturel, et peut être utilisé de façon à renforcer le nouveau concept.
Un nouveau concept émerge, et il remet souvent en cause des éléments préexistants. De plus, il a généralement la bonne idée de ne pas fonctionner...
Il doit alors faire face à différents accueils:
- L'indifférence
- Le rejet, qui peut être illustré par des réactions du type:
- Ca ne marchera pas
- Si c'était possible, quelqu'un y aurait déjà pensé
- L'acceptation conditionnelle, avec le "oui mais". C'est une forme modérée du rejet.
- Et enfin l'adhésion sans réserve.
Le rejet est une forme de résistance au changement. Pour innover, il faut être prêt à abandonner ses certitudes, et ce n'est pas chose facile. Comme pour l'indifférence, comprendre les raisons du rejet apporte des informations précieuses relatives au nouveau concept. Ce sont souvent des raisons que l'on n'avait pas envisagées, et pouvant être liées au concept lui-même ou à son environnement.
L'acceptation conditionnelle, forme "polie" du rejet, est certainement la position la plus intéressante. L'interlocuteur accepte le nouveau concept, mais lui trouve en même temps tous les défauts possibles. Autrement dit, il alimente par lui-même le réseau de problèmes liés à cette nouvelle idée.
Enfin, l''adhésion sans réserve, qui semble à priori satisfaisante, présente le risque de nier les problèmes par une attitude positive exagérée.
Alors, oui, la chasse au "oui mais" est une chasse très productive pour la nouvelle idée, permettant de mettre à jour une partie des éléments à prendre en compte lors de la conception du nouveau système.
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